Orientation du generaliste sur l addicto pour migraines et sinusite chronique entrainant une consommation de medicaments. L’addicto enbarassée fait appel à son « service juridique »
Une situation risible pour un simple demande d accès au dossier medical ; notons que pour cet accès au dossier le delais legal de 8 jours n’a pas pu être tenu par l hôpital ; un medecin totalement inconnu, qui n’a aucun raport avec le dossier concerné hormis qu il est chef de service et donc le superieur hierarchique du medecin et de l infirmiere concernée ; et, pour un hopital, risquer d avoir 2 de ses personnels avec une procédure ordinale ou judiciaire peut etre problematique pour un hôpital se disant « en sous effectif » ; ballader le patient pendant plusieurs mois sans rien faire en attendant que son etat se degrade peut effectivement etre problematique tout comme fournir des rvs pour ensuite dire a ses rvs son refus de prise en charge, sans réorientations;
si le contenu de ce dossier est du meme genre que l hôpital mignot, il est évident aussi que cela pourrait etre tres problematique ; ces hopitaux ont un fort sentiment de toute puissance, d etre intouchable et se rende donc compte qu il ne le sont pas comme indiqué au précédent post ; nul besoin d avoir peur et de rechigner a fournir infos et dossier quand on a assuré une prise en charge effective et de qualité ; quand on peut demontrer la partie de ping pong qui se joue en professionnels de santé pour ne pas prendre en charge le patient le risque ordinale est bien present ;
alors on appelle son avocat et on espérè l inpunité… c est sans compter sur la liberté journalistique !
Quand a la consultation du dossier medical on m inposera la presence d une personne de la « direction des usagers et des affaires juridiques » a priori chargé de la defense des personnels accusés par des usagers ;
on est bien loin de la « commission des usagers » chargé de s assurer de la qualité des soins ;
Classé comme medicament, les morphiniques delivrés en pharmacie sur prescription sont des medicament presentant des risques serieux ; a ce titre toute erreur, refus de soins discriminatoires, toute faute de personnels de santé a ce sujet est pris tres au serieux par les autorites judiciaires et ordinales ; d ou l’embarras des différents professionnels de santé depuis fin avril…