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Une liberté d expression particulièrement importante devant ces situations ou l omerta est imposée…
les mensonges et la mauvaise foi de madame beauvois (en rose sur cette page) de la « direction des usagers » ….
Adjoint des Cadres
Responsable du service des Admissions,
Bonjour Madame,
Juste un précision lors des premiers envois de mail adressé au service d’addictologie j’ai pris contact par téléphone début juillet avec vous et je vous ai laissé un message afin de savoir si je pouvais vous aider et connaître les difficultés rencontrées auprès du service d’addictologie.
Ce à quoi vous avez répondu en date du 02/07/2024 par mail que vous ne souhaitiez pas vous entretenir avec moi (ci-joint votre mail).
le message telephonique et le mail en question ont etes publiés plus haut et n indique en rien « m aider et connaitre les difficultes »; il n a en rien été repondu ne pas souhaiter d entretien avec madame; ce n’est pas ce que dit ce mail; ce mail est ouvert a la communication formalisée; c est l interpretation du mail de madame ce qui est different !
il est facile de laisser un message puis ensuite de dire ce que l on veut, ce qui arrange; mais la realité demontre le contraire; il est trop facile d inventer le contenu d un message telephonique sans aucune preuve; la realité c est que cet hopital ne s est jamais soucié de l aspect santé et ce des le depart, des le 1er rv on est expedié, envoyé ailleurs ! (au service des douleurs chroniques) en expliquant ne pas relever de l’addicto;
En date du 07 août 2024, vous m’avez recontacté afin de savoir quel était l’objet de mon appel, je vous ai alors expliqué que en juillet j’avais tenté de vous appeler afin de vous aider et comprendre le soucis que vous pouviez rencontré avec le service d’addictologie. Je vous ai également expliqué les raisons de la présence du médecin et de moi-même. Mon ton était tout à fait neutre et correcte.
en date du 7 aout, madame beauvois a ete recontacté au motif que la demande d acces au dossier medical a presque attend le delai legal et qu il n y a toujours pas de nouvelles; lors de ce bref echange, elle me reproche de ne pas l avoir rappelé et d avoir refusé la communication selon elle; le ton qu’elle prend de cet enregistrement est aggacé et teinté de reproche a me faire; mais il est encore une fois facile de faire croire a tout et n importe quoi sur de l’entretien telephonique sans preuves, c est pour cette raison que les echanges informels sans preuves ont etes refusés, pour eviter cela; l’enregistrement de ce bref echange telephonique du 7 aout sera publié prochainement le temps de le retranscrire ! l objet de mon appel etait l’acces a mon dossier medical dont la demande ecrite a ete envoyé a la direction de l hopital….
precisions de contexte: madame me contacte debut juillet suite a un mail qui indique « un travail journalistique » que j’effectue dans le secteur de la santé, j evoque la possibilité de faire des photos et videos et evoque le maintien d un site web sans plus de precisions; bien sur le mail rappelle aussi la loi sur les discriminations en santé; il est probable que madame ait cherché a me joindre pour m indiquer l interdiction de photos et videos dans l hopital, toutefois madame n ayant pas donné de motif, cela reste une hypothese;
madame me ressort ensuite son blabla sur les publications nominatives sur le net …. comme si cela allait me faire peur; oui certains salaries d hôpitaux ont un sentiment d inpunité et d etre intouchable ! oui il y a des discriminations sur l accès aux soins !
sachez que le personnel du service d’addictologie vous apporte une prise en charge adaptée, vous avez bénéficié depuis un mois d’un suivi avec un psychologue, un psychiatrique, d’infirmières, du soutient de l’assistante sociale et de l’éducatrice. D’ailleurs, il vous a été proposé de vous accompagner et de vous aider par rapport à une prise en charge dentaire et que l’établissement tout a fait respectueux de ses patients.
reponses a ses mensonges et cette mauvaise foi;
aucun suivi avec un psychologue; et encore moins depuis un mois; une consult d environ 20 minutes avec un psychologue; ce n’est pas « un suivi » c est juste une consult !
aucun suivipsychiatrique : une seule consult d environ une heure avec des delais important; ( plus d un mois pour le 1er rv et 2 mois pour le second rv) ; aucun programme de sevrage mis en oeuvre, aucune possibilité d orientation sur un generaliste pour la partie medicale et des affirmations farfelues que « je ne suis pas motivé » sui sorte de nul part…
aucun suivi infirmier; le 1er rv me reexpedie vers le centre anti douleurs, le 2eme elle stoppe avant meme qu’elle ne commence la prise en charge par un refus explicite
accompagnement dentaire : fictif ! il s agit de brasser du vent afin de dire que « quelque chose a ete fait »;cet hopital est au courant des different refus de soins a ce sujet;
il n y a strictement rien de concret prochainement pour des soins; les demarches deja effectuees sont refaites afin de brasser de l’air et faire croire a l’action; mais sans rien de concret; il y a deja eu plus de 20 consultations sans rien de concret; il y en aura une de plus; basta ! a ce stade on arrive toujours pas a avoir un rv avec le generaliste pour un bebete renouvellement de levothyrox ! le comble ! on ne peut pas affirmer qu il y est eu un soutient de l’assistance sociale et de l’educ; c est un peu simple d imprimer une liste de professionnels de santé juste pour dire qu on fait quelque chose ! oui ! on imprime un document ! et oui on rappelle les dentistes deja appelés et on refait des demarches deja effectuées par le passé; a ce jour il n y a toujours pas de dates prevue pour des soins dentaires ! cet hopital n’a rien fait concernant les mutilations commises et ses consequences ainsi que les consequences des precedents refus de soins;
tout ceci ne ressemble pas vraiment a une prise en charge d un sevrage aux medicaments morphiniques … alors qu on me martelle depuis mai que je ne releve pas de l’addicto ! mais ils ont le droit de considérer apporter « une prise en charge adaptée » …
le « suivi » infirmier n’a jamais eu lieu; en date du 26 juin, l infirmière reitere son refus de prise en charge indiquant que cela ne sert a rien ! (enregistrement); des incoherences demeurent;
la logique aurait été de renvoyer au medecin orienteur pour prise en charge medicale et revenir ensuite en addicto, ou d orienter vers un autre medecin generaliste et de commencer par s assurer que tout est stable niveau somatique ainsi que de fournir toutes les infos necessaires pour une future prise en charge en addicto; malheureusement, il faut couvrir le medecin orienteur, ses fautes, ses refus de soins et ne pas le mettre dans l’enbarras; voila donc maintenant 3 mois que toutes les demarches d acces aux soins ont etes bloquées par ces professionnels de santé;
pour conclure le mail madame indique « mettre fin a nos echanges » ! echanges a sens unique car ce n’est qu’apres un courrier de plainte que madame se reveille et c est bien trop tard….on peut supposer que l objectif d’arriver au rv medecin addicto de septembre de mettre un terme a la « prise en charge » en indiquant que l’educ et l’as ont appelés des dentistes et que donc, il n y a pas de refus de soins….
quand on regarde explicitement le contenus des entretiens infirmiers et les propos de madame beauvois sur une prise en charge adaptée infirmier on a de quoi se poser des questions … un autre mail, en juin precise que « non on ne fait pas de refus de soins puisqu on vous donne des rdvs » ; on peut se demander si la difficulté a obtenir des infos sur comment se passe les sevrages en hospitalier c est parce qu il ne se passe rien et que c est une sorte de « garderie » (financé par la cpam et des subventions)
en voulant eviter, en ayant peur du depot de plainte au cdo pour refus de soins par les reorientations systematiques fictives ne menant a rien, ils ont finalement decidés de ne pas reorienter et de faire semblant d une prise en charge, qui tres concretement est inexistante et ce malgré les affirmations (mensongeres) de la direction des usagers qui n’a de toute facon pas interet a reconnaitre le contenu vide des rvs; alors oui on peut poser un rv avec une infirmiere et l infirmiere lors de ce rv affirmer son refus de prise en charge; cela reste du refus de soins ! mais si ils estiment qu une prise en charge de qualité c est juste de se deplacer a des rv et s entendre dire « sa sert a rien » alors il y a de toute evidence des dysfonctionnements
on arrive pas a voir, dans les ecrit de madame de la commission des usagers la moindre demarches d’amelioration de la qualité des soins, du respect des droits des patients; les commissions des usagers sont surtout chargées d eviter les poursuites aux personnels accusés par des usagers; il n y a pas de recherche de solution, pas de prise en compte de ce qui est signalé; la patient qui affirme une prise en charge fictive, lui est repondu que la prise en charge est adaptée sans chercher plus loin ! depuis le debur, je me fait envoyée chier par le personnel et ce depuis le debut ! le medecin orienteur lui est tranquille, un patient en moins, un hopital qui ne le rappel pas pour lui demander le pourquoi de cette orientation bref une methode de refus de soins finalement efficace !!
et, bien evidemment, cela derange de pouvoir prouver ce contenu vide, les propos tenus en entretiens, les incoherences …. tant pis ! bienvenue dans la realité du systeme de soins ou les professionnels de santé se sentent intouchables …
il est important de rappeler le contexte; pendant que ce « petit bordel » a lieu, le patient lui joue avec des medicaments morphiniques recupéré sur internet et qui presentent un risque serieux et ceci sans aucun suivi medical;